Ma soumission dans les cordes de bondage

Mon Maître, monsieur Jo, m'a demandée, une fois de plus de venir raconter la dernière expérience que j'ai faite avec lui dernièrement. Je savais que je n'étais pas au bout de mes surprises avec mon Maître, et cette fois-ci encore, il a su m'amener à de nouveaux plaisirs de soumission.

Vendredi dernier, Monsieur Jo m'a envoyée un texto pour me prévenir qu'il serait chez moi à 21h, et que je devais l'attendre vêtue uniquement de bas et porte jarretelles et des escarpins. Il a également ordonné que je commence à visionner un film SM qu'il avait laissé à mon attention la fois précédente, en exigeant de moi que je le regarde seulement quand il m'en donnerait l'autorisation.

J'ai reçu le sms le matin, alors que j'étais sur mon lieu de travail, et j'étais très impatiente de savoir ce que me réservait mon Maître. Comme demandé par Monsieur jo, le soir même je me suis vêtue à sa convenance, et, vers 20h30, je me suis installée sur mon canapé pour regarder le film qu'il m'avait laissé.

Il s'agissait d'un film très hard sur le bondage et divers sévices pratiqués sur des soumises. J'étais un peu inquiète en visionnant le début du film car je me demandais quel sort me réservait Monsieur JO, en espérant que ce ne soit pas aussi v i o l ant que dans le film. Les filles subissaient des choses vraiment hard que je ne voudrai pas connaître, mais étrangement, cela m'excitait quand même. Il y avait des passages plus soft qui me rappelaient ce que je peux vivre avec mon maître, et je me transposais facilement dans le film dans ces moments là.

Lorsque mon Maître est arrivé, je me suis dépêchée de lui ouvrir la porte en laissant tourner le film. Il s'est tout de suite avancé au salon pour voir si j'étais bien en train de regarder le film comme il me l'avait demandé.

"C'est bien petite chienne, je vois que tu m'as obéis. J'espère au moins que tu as apprécié le début du film, car la suite tu vas la vivre maintenant!"

J'étais un peu angoissée quand il a prononcé ces paroles. Mais je n'ai pas dit un mot.

Mon maitre m'a demandé de me positionner sous une poutre de mon appartement sur laquelle il avait installé lui-même il y a quelques temps, un gros anneau en métal.

Je devais me tenir debout, jambes bien écartées. Mon maitre a alors sorti des cordages du sac qu'il avait avec lui. Il a commencé par me lier les poignets l'un a l'autre et il a ensuite passé la corde dans l'anneau pour que j'ai les bras bien tendus au dessus de ma tête. Puis il a pris une autre corde et il l'a entourée au dessus et en dessous de mes seins en faisant plusieurs tours. Ainsi, mes seins se sont retrouvés aplatis par les cordages. Jusque là, ce n'était pas douloureux, et je dirais même que c'était très excitant.

Mon Maître a ensuite pris une cravache, et il s'est mis à me donner des petits coups un peu partout sur le corps… les fesses, les seins, sans oublier mon pubis. Cela faisait monter mon excitation et je sentais ma petite chatte mouiller de plus en plus. Il a ensuite sorti des pinces comme il aime les utiliser habituellement sur mes seins. Mais cette fois-ci, ce n'est pas sur mes seins qu'il voulait les utiliser. Il s'est accroupi devant moi et il s'est mis à les accrocher à mes lèvres vulvaires. Jusque là, il ne s'en était encore jamais servi sur cette partie de mon corps, mais cette nouveauté ne me déplaisait pas. Mais mon Maître avait du mal à les positionner…

"Tu mouilles trop petite salope, les pinces glissent !"

Il a frotté ma chatte avec une serviette éponge pour retirer au maximum ma mouille qui avait coulée sur mes lèvres. Il réussit alors à positionner 3 pinces sur chacune de mes lèvres. Il vérifia si elles tenaient bien en place en tirant dessus. Je pensais qu'il en avait fini de s'occuper de mes lèvres, mais mon maître avait une autre idée en tête et il sortit de son sac des petits poids qu'il est venu fixer à chacune des pinces.

Au fur et à mesure qu'il les positionnait, je sentais mes lèvres s'étirer petit à petit. Il en accrocha à chacune des pinces, et je me suis retrouvée avec les lèvres bien pendantes, étirées par les poids. C'était une douce douleur très excitante et j'avais la sensation que ma petite chatte était bien ouverte.

Monsieur Jo se redressa et prit du recul pour me regarder de la tête au pied…

"Ah, tu en as fait du chemin ma salope depuis notre première rencontre. Regarde donc comme tu te laisses traiter maintenant ! Tu es devenue une femme très docile comme je les aime !"

Les propos de Monsieur Jo ainsi que la posture dans laquelle je me trouvais face à lui, me mettait dans une position d'humiliation qui fait grimper mon excitation de chienne soumise.

Puis il se rapprocha de moi à nouveau, et, cravache en main, il se remit a me donner des petits coups sur les seins. Enserrées entre les cordes, ils commençaient à devenir un peu douloureux. Je n'ai pu retenir un grand cri lorsque la cravache les toucha. Mon maître ne va jamais trop loin dans la douleur, et il a délaissé mes seins pour me donner quelques coups sur le pubis. Puis il a glissé sa cravache entre mes jambes et mes lèvres pendantes; et, d'un petit coup sec, il a frappé ma chatte ouverte et bien trempée. A ce moment là, c'est un gémissement de plaisir que j'ai lâché.

"Ah, je vois que tu aimes ça petite chienne ! Ta chatte est plus trempée que jamais dis donc ! On dirait que cette petite séance te fait beaucoup d'effet !"

Il me demanda ensuite basculer mon bassin d'avant en arrière pour faire bouger les poids qui pendaient au bout de mes lèvres. C'était terriblement excitant ces mouvements des poids qui étiraient mes lèvres encore plus. Je me sentais mouiller encore et encore, et j'avais très envie de me faire baiser. Monsieur Jo avait dû deviner mes pensées… Il a donné du leste au cordage qui maintenait mes bras en l'air, juste suffisamment pour que je puisse me pencher en avant, et tendre mon postérieur en arrière comme il me l'a demandé. Mon maître a ensuite pris un sextoys, et il s'est mis à me limer la chatte à grands coups de va-et-vient. Il ne m'a pas fallu longtemps pour jouir de plaisir.

Monsieur Jo m'a ensuite libérée de tous les liens et pinces, et c'est à genoux qu'il m'a ordonné de me positionner devant lui pour que je le fasse jouir à mon tour en le suçant. Cette séance a dû terriblement l'exciter, car en peu de temps il a déversé son foutre dans ma bouche. Comme à mon habitude, j'ai avalé tout son nectar et j'ai lèche sa queue pour ne pas en perdre une goutte.

Une fois de plus, mon maître m'a amenée sur des chemins de plaisir jusque là inexplorés, et encore plus excitants. Je le remercie de faire de moi cette chienne obéissante et docile, pour son plaisir et le mien.